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Bénéfices transition vers les énergies renouvelables

Quels sont les bénéfices des énergies renouvelables sur l’environnement et l’économie ?

Derrière ce titre un peu long, on vous l’accorde 😆, on va décortiquer les atouts de la bascule qui s’organise peu à peu vers les énergies renouvelables – aka les EnR. Car vous savez quoi ? Climat, santé, économie, indépendance, vie citoyenne ou emplois : tous les secteurs sans exception ont à y gagner à vivre de soleil, de vent, de terre et d’eau fraîche.

La transition vers les EnR ou le défi du siècle

Le chantier de la transition énergétique ne fait que commencer mais les fondations ont déjà été posées. Y’a plus qu’à… 😅

Des énergies qu’on peut utiliser… pour l’éternité

La bonne nouvelle c’est que notre planète regorge de ressources naturelles, gratuites et inépuisables à l’échelle du temps humain et dont le potentiel n’a pas encore été suffisamment exploité.

Alimentées par le soleil, le vent, la chaleur des nappes phréatiques, les chutes d’eau ou les marées, ces dernières portent la promesse d’un système viable à l’infini. Sans parler de leur faible impact en matière de pollution, directement hérité du cycle naturel de la Pachamama (= la Terre-Mère pour ceux qui ne sont pas des pros de la culture d’Amérique du Sud). Clairement, la vertu n°1 des EnR est que l’on peut compter sur elles sur le looong terme 👍.

À l’opposé des énergies fossiles

Pas de doute, les EnR sont bel et bien aux antipodes des énergies fossiles. Pétrole, charbon, gaz : pour ces dernières, pas de ressources inépuisables loin de là et des émissions de gaz à effet de serre vraiment peu flatteuses. C’est bien sûr un euphémisme quand on sait qu’elles sont les principales responsables du réchauffement climatique.

Le mix énergétique en France : travaux en cours 🚧

On a beau pointer du doigt les énergies fossiles, la réalité, c’est qu’aujourd’hui en France, c’est de là que provient encore principalement l’énergie utilisée. Oupsie.

Si bien que du haut de leur 19% du bouquet total, les EnR, ne font pas encore pencher la balance du mix énergétique*. En tout cas, pas pour l’instant.

Car le but est bien de limiter chaque fois plus notre dépendance aux énergies fossiles pour faire la part belle aux énergies renouvelables et passer d’un système trop polluant à un régime propre & durable.

La France s’y est engagée. Objectif : la neutralité carbone à horizon 2050… si loin et si proche déjà.

Et déjà un premier palier à atteindre à l’horizon 2030 (demain donc 😰): 40% de production élec’ assurée par les EnR***.

En résumé : la machine est bel et bien en marche pour la transition énergétique mais il va falloir accélérer.

Les premières retombées positives, qui vont continuer de grandir les prochaines années, elles, voient déjà le jour. Ça vous dit qu’on regarde ? Allez.

Les avantages pour l’environnement

Si on est prêt à faire bouger des montagnes et à aller vers plus de sobriété (même quand le panneau en destination des énergies renouvelables indique… 25 ans de marche 😲), c’est bien pour sauver le climat, notre environnement (et nous au passage).

Alors, concrètement, ça donne quoi pour le moment cette nouvelle résolution ?

Déjà moins d’émissions compromettantes pour le climat ! 🥳

D’après un rapport de l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie – oui, on parle de l’ADEME -, ces 20 dernières années, le développement des EnR en France aurait permis d’éviter la consommation de 1 468 TWhep [térawattheures d’énergie primaire] de combustibles fossiles, en France et en Europe****.

Difficile à quantifier à sa juste mesure un chiffre balancé comme ça n’est-ce pas.

Eh bien on vous le dit : ça représente plus d’une demi-année de conso d’énergie de la France**** et c’est déjà ça !

Forcément, plus un secteur propre se développe, plus il fait de l’ombre au secteur polluant qu’on essaie de déraciner et surtout, plus il permet de fournir la population en énergie sans pour autant nuire aux écosystèmes.

En clair, on valide déjà l’effet de substitution, quand bien même le passage généralisé aux EnR n’en est qu’à ses prémices.

Un air beau-coup plus sain à respirer

Urgence climatique vous dites ? Si les énergies nouvelles apportent une des réponses majeures au problème, on en a presque oublié que le climat et la nature n’en sont pas les seuls bénéficiaires.

Moins de pollution, c’est à la fois formidable pour lutter contre une planète en surchauffe, mais c’est aussi un vrai atout pour la santé de ses (trop ?) nombreux habitants. Et comment !

Ni l’énergie éolienne, ni l’énergie solaire, ni l’énergie hydraulique n’émettent de particules fines pouvant affecter leur respiration et leurs poumons. Et paf ! Sobriété rime avec meilleure santé et meilleure qualité de vie.

Preuve que le sujet des énergies renouvelables dépasse totalement le secteur de l’énergie, touchant à nos vies de façon plus directe qu’on ne l’aurait imaginé.

Une bien bonne nouvelle, d’autant qu’on ignore trop souvent combien la pollution cause des morts prématurées chaque année en France et dans le monde.

Les apports pour l’économie nationale

Vous la sentez arriver cette économie circulaire vertueuse qui grandit de jour en jour ? Plus respectueuse de l’environnement, plus sobre et plus inclusive, elle semble faire sa place entre développement durable et croissance économique.

Et comme tout cercle vertueux, chaque membre et chaque pendant de son écosystème est gagnant. Coûts, emplois… : on a dressé une liste non-exhaustive, que voilà.

Des coûts plus bas et plus compétitifs 🤌

Que se passe-t-il quand un secteur d’activité entier gagne du terrain dou-ce-ment, mais sû-re-ment ? Tadaaaaaam. Les prix deviennent plus accessibles.

Voilà le formidable sort réservé aux EnR. Plus elles sont bon marché, plus les investissements pour les développer fleurissent et plus la compétitivité des entreprises est reboostée à bloc.

Mieux encore : l’incantation a déjà commencé. Pour vous donner une image plus concrète, voici un chiffre : -85 %**. C’est la chute du coût de l’énergie d’origine solaire constatée entre 2010 et 2020, comme l’indique un rapport de l’International Renewable Energy Agency (Irena). Comme quoi, un sacré bout de chemin a déjà été parcouru !

La création d’emplois : tous en piste !

Et que se passe-t-il d’autre quand un secteur d’activité entier gagne du terrain dans la ronde économique du pays ? Il faut plein de métiers différents pour lui donner vie… et l’accélérer.

De la production à l’installation, en passant par le pilotage et l’entretien des équipements ou encore l’ingénierie, l’acheminement, la construction, l’approvisionnement… : ça en fait des besoins et des pros à briefer.

D’après le site du gouvernement, ce sont aujourd’hui 86 000 personnes employées***. En 2028, ce seront 236 000 emplois directs et indirects concernés. C’est presque trois fois plus !

Comme un vent de liberté et d’autonomie…

La souveraineté énergétique n’a jamais été autant d’actualité. Il faut dire que la crise sur le marché de l’énergie, exacerbée par le conflit entre la Russie et l’Ukraine, est passée par là. On a pu mesurer l’impact de la dépendance aux énergies fossiles importées depuis la Russie.

D’où l’urgente nécessité, pour la France (et aussi plus largement pour l’Union européenne), à cultiver une indépendance énergétique.

L’idée ? Relocaliser la production d’énergie en valorisant les ressources du territoire et en bénéficiant de moyens peu coûteux pour s’approvisionner. Petit à petit, piano, piano, grâce à la transition vers les énergies renouvelables, le déficit de la balance commerciale lié aux importations d’énergie pourrait ainsi être réduit de 60 % en 2035***. C’est ce que l’on appellerait un sevrage progressif réussi.

Une économie participative !

Qui dit économie circulaire dit économie plus participative. En l’occurrence, saviez-vous que les citoyens (vous, nous, tout le monde en fait) pouvons nous engager à échelle individuelle pour faire grandir le mouvement des EnR ?

Pour ça, plusieurs modes d’emploi. Produire sa propre électricité par exemple, mais aussi : alimenter le réseau grâce à la revente d’excédent élec’. Sans parler de l’évolution des consciences menant à ajuster sa conso à la baisse. Consomm’acteurs quoi. ✊

Et aussi… des économies sur la facture d’énergie nationale 🐔

On en revient à l’étude de l’ADEME citée plus haut. Juste pour finir avec une info chiffrée qui donne (encore une fois) un effet bonne mine à la transition vers des EnR. Cette évolution vers des énergies plus propres aurait permis, en 20 ans, de réaliser une économie de 40 milliards d’euros en évitant la conso de combustible fossile. Vous en conviendrez, 40 milliards, ça fait un bon mot de la fin.

📌 Ne ratez plus aucun conseil pour économiser !

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*Source : ADEME, L’énergie en France

**Source : IRENA

***Source : Ministère de la Transition Écologique

****Source : ADEME, Bénéfices liés au développement des énergies renouvelables

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