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Ce qu’il faut savoir sur le taux d’humidité intérieure

Ni trop froid, ni trop chaud. La température idéale (d’après nos sources : ces discussions météo que l’on connaît tous par cœur) est un doux équilibre entre le fait de porter 7 couches de vêtements et d’avoir la clim’ pour survivre. Le constat est le même pour le taux d’humidité dans la maison : l’air ne doit être ni trop sec, ni trop humide. C’est-à-dire qu’il doit se situer entre 40 et 65% d’humidité (d’après nos sources : la super appli Sowee). Reste à savoir comment contrôler le degré d’hygrométrie intérieur (pourcentage de vapeur d’eau dans l’air) pour pouvoir rectifier le tir en cas de besoin. On fait le tour de la question ?

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Sécheresse et humidité intérieure, quels « risques » ?

On a tendance à sous-estimer son importance. Pourtant, l’air intérieur, s’il est trop sec ou trop humide, devient vite une source d’ennuis non négligeables.

Un air trop sec, courant en hiver avec l’excès de chauffage (réaction de légitime défense tout à fait compréhensible, on vous l’accorde), a tendance à assécher les muqueuses des voies respiratoires. Résultat : crises d’asthme pour les asthmatiques, infections ORL pour les tout-petits, sensation d’inconfort et de fatigue pour les autres.

L’air humide n’est pas plus apprécié. Mal-aimé côté météo, on aime encore moins le retrouver chez soi. Celui qui favorise l’apparition d’acariens, cause d’allergies chez un quart des Français, est aussi un vrai ennemi de la déco. Peintures qui s’écaillent, apparition de moisissures, joints qui noircissent, condensation des murs et des fenêtres… Non, les dégâts ne sont pas jolis, jolis.

Comment assurer un taux d’humidité optimal chez soi ?

Première étape : ne pas négliger les signaux qui donnent l’alerte (gêne respiratoire, murs humides…). Voyons si vous avez bien lu le premier paragraphe…

Deuxième étape : adopter quelques bonnes habitudes quotidiennes. Aérer une à deux fois par jour, nettoyer régulièrement les grilles d’aspiration de la VMC, vérifier que la hotte aspire correctement… Voilà de quoi éviter de faire grimper le niveau d’humidité. Et pour éviter que l’air soit trop sec : on baisse le chauffage à une température « raisonnable », 20, 21°, pas plus (notamment en cas de chauffage électrique ou au bois, lesquels assèchent plus vite le corps) et on s’équipe d’un humidificateur d’air, à condition de changer l’eau régulièrement pour une utilisation efficace.

Troisième étape (la plus fiable) : surveiller le taux d’humidité grâce à un indicateur précis. C’est le cas de l’hydromètre, petit appareil portatif indiquant le pourcentage exact de la quantité de vapeur d’eau contenue dans l’air. Dans un autre registre, la Station connectée et l’appli Sowee sont aussi très au fait du niveau d’humidité de la maison puisqu’elles vous informent, conseillent et alertent en temps et en heure.

Quatrième et dernière étape : respecter le niveau d’humidité idéal. Oui, c’est exactement ça, sans cette étape, les 3 premières ne valent rien. Tout l’intérêt de ne pas avoir interrompu votre lecture avant la fin ! Du coup, juste quelques lignes supplémentaires pour expliquer que celui-ci n’est pas le même toute l’année puisqu’il dépend du climat, de la saison, mais aussi de la localisation. Le taux d’humidité idéal en France en été va ainsi de 40 à 65% alors qu’en hiver, on le préfère autour de 50%, un chiffre revu à la hausse si l’on vit sous les tropiques. Si cette précision vous perturbe, sachez que le repère de 40 à 65% sert très bien de généralité (du moins, si vous êtes dans l’hexagone).

En ce qui nous concerne, c’est plutôt la référence aux tropiques qui nous perturbe. On troquerait bien notre climat humide contre un aller-retour en été. Avec du soleil, le taux d’humidité passe tellement mieux ! Mais ça, ce sera l’objet d’un autre article.

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1 réflexion au sujet de « Ce qu’il faut savoir sur le taux d’humidité intérieure »

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