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Qualité de l’air intérieur : alerte au CO2

Ah la qualité de l’air ! Un vaste sujet dont on parle régulièrement à chaque pic de pollution. Ce dont on parle moins, c’est du fait qu’à l’intérieur, le bilan n’est pas plus glorieux.

L’air y est encore plus pollué qu’à l’extérieur. Pire, nous y sommes exposés pendant 80% de notre temps. Que l’on se rassure, il y a quand même un avantage par rapport à la pollution atmosphérique : notre marge de manœuvre. Entre bonnes pratiques et objets venus à la rescousse, il est possible de faire pencher la balance dans notre sens pour mieux respirer. Au moins à la maison 🙂

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L’air intérieur en quelques chiffres

Des chiffres valent tous les discours pour mesurer l’ampleur et l’impact de la pollution intérieure sur notre santé. État des lieux.

  • On pointe toujours du doigt la pollution atmosphérique. Pourtant, l’air intérieur est entre 5 à 7 fois plus pollué que l’air extérieur1. Étonnant… mais pourtant bien vrai.
  • Si l’air intérieur est néfaste pour notre santé, nous y sommes malheureusement exposés 80% de notre temps2 puisque nous vivons, travaillons et réalisons la plupart de nos activités dans des lieux clos : logement, bureau, voiture, lieu de loisirs…
  • Nous consommons 10 à 15 000 litres d’air par jour3 contre 2kg d’eau ou 1,5 de nourriture. Soit l’équivalent du volume d’une pièce de 12m3 (3m de hauteur, 2m de longueur et de largeur). D’où l’importance de respirer un air optimal !

Pollution domestique : qui sont les fautifs ?

La pollution extérieure s’explique, entre autres, par le trafic routier, le chauffage au bois, l’absence de vent. À l’intérieur, d’autres coupables sont pointés du doigt. Mauvaise aération, ventilation insuffisante, humidité, augmentation du chauffage, produits d’entretien, encens… La bonne nouvelle, c’est que nous pouvons contrôler la présence ou le bon fonctionnement de la plupart d’entre eux. Problème, solution, action, réaction !

Les bons gestes (et objets) à adopter

  • Les bons gestes

Une maison en bonne santé prend 5 fruits et légumes l’air 15 minutes par jour. Pour assurer un bon renouvellement de l’air, on aère, surtout en hiver, mais aussi après toute activité émettant du dioxyde de carbone (ménage, cuisine, douche…). On veille aussi à dégager les entrées d’air et à entretenir la VMC. Sans oublier de faire les bons choix : on évite les produits domestiques remplis de solvants, les moquettes, les tapis et (même s’ils sont tentants) les bougies parfumées, huiles essentielles et autres sprays émettant des composés organiques volatils (COV).

  • Les objets

Certains appareils donnent de vrais coups de pouce pour une maison plus sûre et plus saine. Nous, on vote tout particulièrement pour les ioniseurs, lesquels assainissent l’air en continu (encore mieux que les purificateurs d’air classiques impliquant de changer des filtres) et les déshumidificateurs d’air qui améliorent efficacement le taux d’humidité. Mais aussi pour les stations connectées qui indiquent le taux de CO2, sonnent l’alerte en cas de danger et donnent des conseils personnalisés.

À bas la pollution de l’air intérieur ! Respirer mieux chez soi sera, sans aucun doute, dans notre liste des bonnes résolutions…  Mieux, on va l’inclure dans notre to-do-list de fin d’année. Et vous ?

Sources

[1] Observatoire de la qualité de l’air intérieur- www.oqai.fr

[2] Données du Ministère de l’Environnement

[3]Plan de protection de l’atmosphère 

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1 réflexion au sujet de « Qualité de l’air intérieur : alerte au CO2 »

  1. merci pour cette article, je ne savais pas que les bougies sont aussi polluantes pour notre air intérieur ! J’ai aussi entendu dire que les moisissures ça polue l’air !
    Et je suis d’accord, j’ai un ioniseur français teqoya, c’est vraiment pratique et agréable je le laisse allumer toute la journée et il y a rien à faire pour l’entretien ! j’habite près d’une autoroute donc voilà …

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